Le rankaku et ma table Ikea – 3 Avancement

Aux dernières nouvelles (18/07)

Hello !

On me réclame des nouvelles de ma table, mais à vrai dire je n’en ai pas à donner, car je suis face à un os. En gros sur ces six derniers mois, ce que j’ai fait se résume essentiellement à ça :

1. Décaper et refaire une partie de la table, qui détonnait avec le reste. En effet, ma technique a tellement évolué entre le début et la fin de la réalisation de la table que l’ensemble était harmonieux de loin, mais beaucoup moins de près. Alors j’ai préféré en refaire une partie (masochisme, bonjour !)
2. Beaucoup d’essais de vernis sur des échantillons, mais le résultat ne me plaît pas vraiment. Et tant que je n’aurais pas trouvé le vernis qui me plaît, je ne pourrai pas terminer la table. Disons qu’il y a encore du travail et que je me renseigne sur ce qui pourrait potentiellement me plaire.

Donc non, le projet n’est pas à l’abandon, mais j’ai besoin de ne pas ruiner ma table à la dernière étape donc je préfère prendre mon temps ;)

Bel été à tous ! :)

Le rankaku et ma table Ikea – 1 La petite histoire

Pâques oblige, il fallait bien qu’on aborde le sujet des œufs ! Enfin, plus précisément, je vais vous parler de coquilles d’œufs.

J’ai chez moi une vieille table Ikea qui a connu un certain nombre de péripéties et s’est abimée avec le temps. Je ne savais pas quoi en faire quand, chez mes parents, je suis retombée sur un vieux cadre photo que j’avais fait en atelier de travaux manuel en primaire (eh oui, ça remonte un peu !).

L’animatrice nous avait fait utiliser des coquilles d’œufs pour créer des motifs et habiller des cadres photos. A l’époque j’avais 6/7 ans, mais ce travail sur la coquille avait été un véritable coup de cœur. Une vieille table. Plein de coquilles d’œufs. Je n’ai pas hésité très longtemps. Mais avant de parler de ma table Ikea, faisons une petite parenthèse sur le rankaku. Pourquoi ? Eh bien tout simplement parce que la technique que j’ai employée en est un dérivé lointain.