Vendredi 13 : Cats-cela ne tienne

Le fait est que j’ai un don pour essayer d’attirer les ennuis et d’y embarquer gaiement Manu avec moi ! :D Et comment tenter le sort plus efficacement qu’en allant voir une comédie musicale sur les chats un vendredi 13 ?

cat-ticket

Cats cela ne tienne, nous sommes donc allés voir Cats au théâtre Mogador. Prêts pour un petit retour d’expérience en neuf points et à quatre mains ?

  1. Entendre « ineffable » au détours d’une chanson de comédie musicale, je dois avouer que c’est une première !
  2. Petite précision cependant, nous n’avons pas compris grand-choses aux paroles 50% du temps, pourtant traduites en français (oui, ça aurait dû faciliter un tantinet les choses). Est-ce dû au fait que l’on vieillit, à notre placement en corbeille, à la sonorisation ou les chanteurs ? Ou bien est-ce une marque de fabrique des comédies musicales ? Aucune idée, mais au fond ce n’est pas grave car cela n’empêche pas de profiter du spectacle.
  3. D’autant que Cats est réputé pour faire la part belle aux intermèdes dansés. Et ceux-ci surfent allègrement sur divers courants : classique, break dance, modern jazz, tai-chi… (ok, on sort)
  4. Quand bien même la musique et la danse ne vous plairaient pas, un autre point fort de Cats est le décor. L’accessoiriste a réellement dû s’éclater, car il fourmille de petits détails sympas qu’on ne voit pas au premier coup d’œil et qui se prêtent bien à tout un tas de blagues pourries pendant l’entracte.
    Four à gauche, capitaine !
    Four à gauche, capitaine !

    D’ailleurs, pour éviter de faire un four, les Cats le garde à portée de pattes sur scène (ok, on sort bis)

  5. Chimène Badi tient le rôle de Grizabella depuis quelques temps à l’heure où nous écrivons et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle a du coffre !
  6. Les costumes sont globalement superbes. Quelques détails nous ont beaucoup amusés, comme les lunettes du Rumpus Cat. On veut les mêmes !
    Cats-official-RumpusCat
    Faut avouer, elles sont classe. En plus, elles clignotent <3

    Au final, nous avons également vu des gens déguisés en chats déguisés en chiens… Chienceptiooon !

  7. Les blagues des Jellicle Cats sur les chats sont de petites gourmandises on les a bien appréciées !
  8. Fou-rire de deux abrutis (oui, nous) en fond de salle lors de la descente de Mistofelees au filin : son costume pailleté lui donne un air de boule disco et nous offre l’occasion de faire une série de blagues d’un niveau douteux… Il nous a cependant vite calmés par un splendide solo de danse.
  9. Pour conclure, on a aimé, ça nous a changé et on s’est bien amusé. Enfin, on n’a jamais vu autant de gens à poils sur scène (cette fois, on sort définitivement…)

Bises les loulous !


Cats – Théâtre Mogador, 25 à 99e environ jusqu’au 03/07/2016

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